Vous êtes ici > Home | Ressources | Projets Pédagogiques | Ecrivains normands | Paul Féval |
L'auteur :
Féval Paul dit Féval père
Repères biographiques :
(tiré de l'encyclopaedia universalis
(DL))
Né à Rennes en 1817 et mort à Paris en 1887 . Issu d'une famille de magistrats assez peu fortunée, Paul Féval fut l'un des auteurs de romans-feuilletons les plus productifs et les plus célèbres du XIXeme siècle . A treize ans, il passe une année dans un refuge de conspirateurs chouans où il restera fortement imprégné de folklore bretons . Après une licence de droit, il commence la carrière d'avocat qu'il abandonnera dès sa première plaidoirie . Il gagne à Paris pour se faire une place dans les lettres; renvoyé de chez un banquier pour avoir lu un livre de Balzac, volé à plusieurs reprises, il est retrouvé mourant de faim et de froid dans sa mansarde et soigné par une voisine charitable pour laquelle il conçut un amour profond et romanesque .
Ruinée par des spéculations financières, il passe les dernières années de sa vie à expurger de son oeuvre tout ce qui pouvait lui rappeler son passé de libre penseur et à écrire des livres édifiants .
Atteint de paralysie vers 1880, il meurt fou quelques années plus tard .
Repères bibliographiques :
Les Mystères de Londres (11 novembre 1844) | Le roi des Gueux (1859) |
Le Bossu (1858) ou Le Petit Parisien | Les étapes d'une Conversion (1877-1881) |
Les Amours de Paris (1845) | Le Mendiant noir |
La Quittance de Minuit (1846) | La Fée des Grêves |
Le Fils du Diable (1846) | Le Tueur de Tigres |
Le poisson d'or (1863) | Le Capitaine Fantôme |
La première Aventure de Corentin Quimper (1876) | Madame Gilblas |
Contes de Bretagne (1844) | Les Habits Noires |
Contes de nos père(1845) | Bouche de fer |
Loup Blanc (1843) | Le Puritain D'écosse |
L'homme de fer (1856) | Les Compagons du Silences (1857) |
Le Bossu : Un Roman de Cape et D'épée :
"La cape et l'épée, roman éponyme
du genre, fut publié en 1875 par Amédée Achard. Mais
Féval n' avait pas attendu "l' appellation contrôlée
" pour triompher dans le genre avec le Bossu, un roman que tout le monde
a lu et dont on conserve, lorsqu'on l'a oublié, au moins une réplique
" Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à
toi ! ". L'évocation du Paris de la Régence est bien venue,
l'intrigue comporte des rebondissements propres à nourrir l'intérêt
du lecteur, le style est d'une telle dynamique que le public est réellement
emporté, subjugué jusqu'à " la suite au prochain numéro...
".
http://members.aol.com/njolas/index2.html
Kevin, Frédéric, Nicolas
2 MVA
Janvier 2000
Accueils
| Enseignants
| Elèves
| Parents
| Professionnels
| Autres
|
Dernière mise à jour : 25/10/00 | © 1999-2000 Modeste-Leroy |